31 mars 2010

Chavín de Huántar

Vendredi matin, de Huaraz nous sommes partis en bus pour rejoindre Chavin de Huantar, village situé à environ 20 km à vol d’oiseau, mais à plus d’une centaine de km par la route. Et quelle route ! Très jolie, mais dans un état exécrable, si bien que nous avons passés en tout 8h dans le car…
En chemin nous nous sommes arrêtés pour apprécier le lac Querococha, et une faille géologique qui ressemble fortement à la carte du Pérou, mais aussi les superbes vues panoramiques offertes par le col que nous avons traversé.
Le village de Chavin de Huantar est situé à l’intersection de deux vallées dont les rivières s’y rejoignent. Le temple construit environ 1000 av. JC est fondé sur un réseau d’irrigation. C’est un temple à vocation religieuse puisqu’il sert aux cérémonies pour le Dieu Lanzon à l’image de jaguar.
L’ensemble du temple est construit avec des références au nombre 7 : la place cérémoniale fait exactement 49m x 49m, les 2 étages du temples font exactement 7m de hauteur, il y a 7 récipients pour les offrandes au Dieu…
Dans le cœur du temple est aménagé un couloir noir et étroit menant à une statue de 4,53m représentant Lanzon. Les prêtres étaient les hommes puissants de cette civilisation et étaient les seuls à avoir accès à Lanzon. La raison est qu’ils utilisaient le cactus San Pedro, hallucinogène qui leur permettait d’une part de converser avec leur Dieu mais aussi à avoir une meilleure vue dans le noir (dilatation des pupilles).
Autre caractéristique architecturale intéressante : les Têtes Clouées qui sont des statues gardiennes du Temple et que M. a une faculté incroyable à imiter !!

30 mars 2010

Laguna Churup

Mardi dernier nous sommes arrivés à Huaraz, ville située dans la province de Yungay, au Sud de la Cordillera Blanca dans le Parc National de Huascaran, dans cette région du Pérou où l’on trouve les plus hauts sommets des Andes péruviennes. Le plus haut étant l’Huascaran qui culmine á 6788m.
Nous nous situons à la fin de la saison des pluies. Dans la région les matinées sont ensoleillées mais les après-midis le ciel devient nuageux et il pleut des trombes d’eaux. C’est pour cela qu’il est conseillé aux moins experts de faire des randonnées de moins d’un jour et de se lever tôt pour les faire.
Sitôt dit sitôt fait. Le mercredi matin on s’est levé à 4h30 pour faire une randonnée qui devait nous emmener au lac Churup, à 4 500m d’altitude. Très beau, on le recommande !
Sur le lien qui suis, c’est assez bien expliqué, même si c’est en anglais. Ca nous évite de répéter : http://huaraz.com/churup/english.html

29 mars 2010

La Huaca del Sol et la Huaca de la Luna.

Comme hier nous avons visité les restes archéologiques de la culture Chimu, aujourd’hui nous avons visité ceux de la culture Moche, antérieure a la culture Chimu et qui occupait la même vallée : la vallée Moche.
On pense que la Huaca del Sol a un rôle administratif (impôts, charges,…), mais de nos jours, ce site ne peut pas se visiter puisqu’il est toujours enterré sous une grande montagne de sable qui laisse seulement apprécier légèrement sa forme pyramidale. Nous espérons qu’un jour on trouvera les financements nécessaires à commencer les travaux archéologiques qui permettront d’en apprécier l’intérieur.
La Huaca de la Luna peut être, elle, visitée de l’intérieur et c’est vraiment impressionnant. Elle est composée de sept plateformes qui forment un édifice de 21 m de hauteur au total. Malgré les nombreux pillages qu’elle a subis pendant la période coloniale, on peut toujours voir sa forme générale et une partie de l’intérieur. Elle tenait une fonction funéraire ; chaque plateforme étant la tombe des prêtres guerriers d’un siècle. Comme nous pouvons le voir sur la photo, les murs de chaque plateforme étaient décorés de peinture murale représentant leur Dieu et des scènes typiques de la culture Mochica.
Fait intéressant : A la différence d’autres cultures plus favorables au sacrifice animal ou humain (en majorité des jeunes filles de 15 ans ou des femmes), la culture Moche faisait des célébrations durant lesquelles les meilleurs guerriers se combattaient sur la place principale annexée à la Huaca, les perdants étant sacrifiés.

Pour plus d’information sur les Huacas et sur la culture Moche : http://www.huacas.com/

28 mars 2010

Huanchaco

En fin de journée, après la visite du palais Chan Chan, nous sommes allés faire un tour dans la ville balnéaire de Huanchaco, réputée dans la région pour ses vagues, ses surfers et les Caballitos de Totora.
Ces dernières sont des embarcations typiques conçues en tige de roseaux par les Moches pour naviguer sur les eaux de l’Océan Pacifique. De longueur allant de 4 á 5 mètres, leur forme permet de s’accroupir en fin d’embarcation et d’avancer avec une rame.
Elles sont encore utilisées de nos jours par des pêcheurs et participent aussi à l’activité touristique de Huanchaco.


Chan Chan… un palais Chimu

Dimanche dernier, nous sommes arrivés à Trujillo. Autour de cette ville côtière, nous avons visité un palais Chimu, Chan Chan. Les Chimus sont une civilisation pré-inca tardive marquée par les trois mondes suivants : le monde terrestre, le monde céleste et le monde marin. Comme dans toutes les civilisations péruviennes, la hiérarchie sociale de cette civilisation Chimu est basée sur un système de castes.
Le palais que nous avons visité était vraiment impressionnant, comprenant notamment deux places dédiées aux cérémonies, un bassin d’eau réservoir, des chambres mortuaires et des temples.
Construits en briques d'adobe les murs de cette cité étaient recouverts d'un ciment sur lequel étaient gravés des motifs marins (marées, poissons, pélicans) en raison de la proximité de cette civilisation à l'Océan Pacifique. Plusieurs théories émergent sur la signification de ces motifs, dont l'une la relie au phénomène climatique El Niño qui génère de fortes pluies au Pérou.
Il était construit dans un temps record afin que le Grand Chef Chimu puisse y être enterré avec tous ses effets personnels ainsi que des sacrifices humains et animaux. Il appartenait ensuite à son descendant d’aller conquérir un autre territoire pour reconstruire son propre palais afin d’y être lui-même enterré !

25 mars 2010

L’urbanisme à Cajamarca

Cajamarca est une ville de 160 000 habitants située à 2700 m d’altitude dans une vallée entourée de montagnes culminant autour de 3000 m. Ville composée d’édifices bas (2 à 3 étages maximum) afin de respecter, selon un guide très intéressant que nous avons eu aujourd’hui pour un visite, le patrimoine culturel issu de l’architecture coloniale.



Il est clair qu’avec une population qui a crue ces vingt dernières années de 50 000 habitants à 160 000 habitants, la ville s’est étendue de façon impressionnante avec comme résultante un certain nombre de problèmes d’infrastructure : réseaux d’eau pluviale sous-dimensionnés ou inexistants, voiries inexistantes en périphérie, forte concentration de taxis à quatre et trois roues en plus des colectivos (transports publics).


Remarques sur la construction :




- Issues de l’architecture coloniale, les maisons de type romaine carrées et présentant en leur sein un atrium permettant de rafraichir les habitations en saisons chaudes.





- Les maisons étant en général peu isolées, le rafraichissement se fait principalement par des aérations voulues (fenêtres, portes) ou pas (constructions souvent précaires laissant des ouvertures entre le toit et les murs)





- Sur les toits fleurissent des cuves que l’on devine stocker de l’eau. Mais aucun système de production d’eau chaude… en fait ce sont des cuves qui assurent un traitement de l’eau en retenant les fines et en évitant la production de bactéries.

22 mars 2010

21 mars 2010

Le bains de l'Inca

Pour éviter la pluie sur nos habits, on a préféré aller directement se baigner dans une des attractions locales et touristiques, les bains de l'Inca. Situées à 6 km de Cajamarca, ces sources naturelles d'eaux chaudes thermales étaient utilisées déjà de l'époque précoloniale et ont fait, le temps d'une après-midi, notre plus grand plaisir. On a profité d'un bain bien chaud et on a scrupuleusement respecté la consigne de ne pas rester plus d'une demi heure... effectivement, après une demi heure on est tellement relaxé et ramolli qu'un bain prolongé peut devenir dangereux !


Cajamarca sous la pluie

Vendredi matin, après avoir passé la nuit dans un autobus depuis Chimbote, S-A-M est arrivé à Cajamarca. Avec les 1m80 de G et les 1m72 de M, on ressemblait au géant vert mêlés à la population andine qui compose Cajamarca. Cité de construction principalement coloniale, on a passé pas mal de temps à nous perdre dans ses rues. On est notamment allé au marché où nous avons goûté au fromage de la région. Très bon !
On recommande de visiter la ‘Plaza de Armas’ qui est l’équivalent au Pérou de la place de la République en France.
Comme c’est la fin de la période des pluies en ce moment, à midi il a commencé à pleuvoir quand on se dirigeait vers les Bains de l’Inca, et jusqu’à maintenant ça ne s’est pas arrêté. Toutes les rues baignent dans une eau limoneuse, les gens attendant sous les porches que ça se calme un peu pour courir jusqu’à leur destination avant qu’une nouvelle trombe ne les fasse rechercher un abri.

20 mars 2010

Le Cerro Sechin

Après une nuit passée en bus (bon moyen d’économiser des nuits d’hôtel !), nous sommes arrivés jeudi matin à Casma, petite cité située dans une vallée verte entourée de monts rocailleux et arides. De cette ville, nous sommes allés visiter un temple antique émanant des civilisations Sechin, le Cerro Sechin. D’autres sites sont assez proches dont l’un, Chanquillo accueille notamment le plus vieux calendrier solaire d’Amérique ! Ces civilisations sont bien plus anciennes que celle des Incas puisqu’elles existaient en 2000 AC et démontraient déjà à l’époque de grandes connaissances techniques dans les domaines de la culture, de la construction, de la santé…
La découverte du temple Sechin s’est accompagnée d’un fait étrange : l’absence complète de signe de vie tels que des ossements, des outils, des accessoires, ou autres. Cependant notre guide ne désespère pas de trouver ces signes de vie qui pourraient être cachés derrière une porte qui n’a à ce jour pas encore été débouchée. Est-ce la volonté de conserver ainsi une légende ? Toujours est-t-il que des Chamanes sont prêts à débourser de grandes sommes d’argent pour venir faire des incantations devant cette fameuse porte…

Le taximan péruvien

Bonne nouvelle : Le sac de G est réapparu avant hier et du coup on a pu commencer à prendre la route du Nord du Pérou ! Le taximan qui nous a accompagnés jusqu’à l’aéroport, R, en bon liménien aime beaucoup parler. Fin connaisseur de son pays et des ses habitants, il nous a expliqué une montagne de choses sur le Pérou et plus spécialement sur Lima. Il est important de noter que le trafic à Lima est une jungle et, que tout en conduisant, R regardait dans son rétroviseur pour vérifier qu’on le suivait et faisait des grands gestes avec ses deux mains pour illustrer ses paroles. Nous, en voyant l’embrouillamini de la circulation devant nous et que R ne le voyait pas puisqu’il était plus occupé à nous regarder à travers le rétroviseur, on avait envie de lui proposer qu’un de nous deux prenne le volant pour qu’il soit libre de nous raconter tout ça du siège du copilote. A S-A-M on pense que R constitue l’icône parfaite du péruvien fou de sa terre et avec plein d’anecdotes et de faits historiques à raconter à moitié vrais et à moitié fictifs… ne cherchant pas à mentir, mais plutôt à impressionner, et au-dessus de tout à nous faire partager son amour pour cette grande terre. A notre retour à Lima, si nous avons besoin d’un taxi, c’est certain, on l’appellera lui.

19 mars 2010

Inca Kola

Grande découverte, l'Inca Kola ! Ne nous demandez pas à quoi ressemble son goût, nous ne pouvons simplement pas trouver d'autres mots pour le définir que c'est très sucré et très pétillant ! G n'a pas aimé, M l'a adoré...

Quelqu'un connaissait cette boisson ?


18 mars 2010

Diario del viajero

Merci Eva d'avoir parlé de nous sur Diario del Viajero !





17 mars 2010

Premier jour à Lima

Premier jour à Lima, on est un peu victime du jet lag mais enchanté d'être ici ! Ce matin on est passé aux ambassades francaises et espagnoles pour indiquer qu'on serait au Pérou pendant les 6 prochains mois au cas où et pour être localisables. Après on est allé à Interbank pour ouvrir un compte bancaire. On n'y a rencontré aucune résistance et 20 min plus tard on ressortait avec notre carte VISA péruvienne. On a fini dans le Parc Kennedy pour manger un pique nique, à manger de la pastèque et à regarder les gens passer dans la rue et les enfants jouer sur les toboggans. Que c'est bon d'être ici !


16 mars 2010

Le Jour Le Plus Long


Ca y est le jour J est arrivé avec un réveil à 6h du matin pour être sûr de ne pas rater l'avion. Nous avons bien fait car il y a beaucoup de trafic ce matin et l'autoroute est bien bouchée. Après des Au Revoir difficiles pour M avec sa famille nous prenons l'avion de Barcelone vers Madrid, escale obligatoire, pour changer d'avion. M connaît la mauvaise réputation de l'aéroport madrilène pour sa mauvaise gestion des bagages... nous y reviendrons plus tard.


L'aéroport est très grand et malgré l'heure et demi que nous avons, nous ne devions pas traîner. Juste le temps de faire les 25 min de transport entre les 2 portes et de grignoter un morceau car nous pensions qu'il n'était pas offert de repas. Le voyage s'est particulièrement bien déroulé avec 3 films, 3 repas et quelques conversations avec un jeune Suisse parti en Bolivie pour retrouver sa moitié. Une belle histoire d'Amour apparemment !


Il fallait bien cela pour supporter les 9700km et 12h de trajet séparant Madrid de Lima. D'autant qu'au plus grand désespoir de G, il n'y avait aucun accès aux fenètres et aux paysages sud-américains. Dommage car en passant au-dessus de Madeire, de la Guyane francaise, de Manaus, du rio Branco et des Andes, il y avait de quoi se régaler !


A l'arrivée la bonne surprise est que les bagages de G sont introuvables ! Nous soupconnons rapidement l'aéroport de Madrid de s'être trompé. C'est apparemment une coutume et les services de l'aéroport de Lima ne sont pas surpris. Maigre consolation : nous ne sommes pas les seuls dans ce cas-là.


Du coup le taxi que nous avait réservé PTB (le pote d'un pote), est reparti. On en trouve un et négocions un prix correct. Mais nous ne connaissons pas l'adresse exacte où nous allons et nous remercions déjà les Péruviens pour leur patience ! En effet le taximan nous aide à trouver l'auberge avec les quelques informations que nous avions, et nous retrouvons PTB avec qui on se fait une joie de boire notre première bière péruvienne et notre premier chifa (c'est le chinois du Pérou). Après avoir remercié PTB pour son super accueil, nous pouvons enfin nous coucher à minuit heure local, soit à 6h heure européenne. Une vraie journée de 24 h !

15 mars 2010

Les bagages...

Si, Si demain on part !! Ce matin G a rejoint M à Terrassa. Pendant que G se reposait, M a passé la journée à faire son sac.
Que mettre dans un sac qui nous accompagnera pendant un an et demi ? Ci-dessous vous est détaillé le sac de M, celui de G ayant quelques petites variations (il n’a par exemple ni bikini ni sèche-cheveux) mais l’essentiel est semblable.


Deux petites serviettes.
Une grande serviette qui sèche vite.
Des Sous-vêtements.
Une Pharmacie.
Un sac de couchage.
Deux pantalons (dont un démontable).
Collants.
Un pantalon léger.
Deux maillots à manches longues.
Deux maillots à manches courtes.
Trois débardeurs (pas pour G).
Un jeu d’échecs magnétique.
Une ceinture.
Des gants et une écharpe en polaire.
Un bikini.
Un sèche-cheveux de voyage.
Un gilet et un pull-over à capuche.
Un coussin gonflable.
Un sac en tissu et un sac intérieur.
Des serviettes nettoyantes.
Un vieux téléphone portable avec chargeur.
Des lunettes de soleil.
Une lampe frontale (LEDs).
Un adaptateur pour l’Amérique du Sud.
Un couteau suisse.
Un cadenas numérique.
Un paréo/foulard.
Anorak (démontable avec capuche et une fourrure polaire à l’intérieur).
Appareil photos et vidéos.
Livres et Guides.
Sandales pour la marche.
Chaussures légères et confortables
Chaussures de montagne.
Un sac pour confiner le sac à dos avec cadenas pour les voyages en avion ou bus.

En plus de cela, G a dans son sac une boussole, une tondeuse électrique, une clé USB, un sifflet (en cas d’urgence dans la montagne). Et pour faire des petites réparations, un morceau de corde et du chatterton.
Va-t-on réussir à dormir cette nuit ?
C’est dur et triste de dire au revoir aux amis et à la famille ! Vous allez nous manquer !!
Et demain Lima !!

12 mars 2010

Que mettre dans sa pharmacie ?

Pour qu’aucun bouton, aucune ecchymose, aucun bobo ne nous résiste… voici une liste de ce qu’on va mettre dans la boîte à pharmacie qu’on emportera en Amérique du Sud.

Pastilles pour purifier l’eau
Des antipaludiques (Nous avons préféré choisir ceux que l’on prend si l’on a les symptômes de la maladie)*
Protection solaire de 30
Spray anti moustique (nous recommandons Goibi ou Relec fort)
Afterbite**
Paracétamol et Ibuprofene***
Antihistaminique (pour l’allergie de M)
Crème à la cortisone (pour l’allergie de M)
Collyre pour les yeux (aussi pour l’allergie de M)
Pommade anti-inflammatoire
Pommade Radiosalil ou Baume du Tigre pour les douleurs articulaires et musculaires
Antidiarrhériques
Laxatif (nous recommandons Micralax)
Patch Compeed pour les pieds
Lingettes désinfectantes et antiseptiques
Gazes, sparadrap, pansements, bandes et coton
Ciseaux, pinces, et aiguilles stériles,
Thermomètre
2 paires de gants en caoutchouc
Collier contre les puces****
Enveloppes de sérum infantile*****
Biodramine

Notes:
* Comme on vous l’a dit dans le Post Documents utiles à l’heure de faire un voyage, c’est un traitement qui nous a été prescrit lorsque nous sommes allés consulter un centre de vaccination international. Par conséquent, ce traitement n’est pas nécessairement le même pour tout le monde. Avant de partir en voyage, il faut aller dans un des ces centres pour savoir quel traitement est le plus approprié en fonction du voyage que vous prévoyez de faire.
** Ce n’est en fait que de l’ammoniac ! Et pour le prix, il aurait été possible d’acheter 10L d’ammoniac, mais nous ne pouvons pas nous permettre d’en transporter autant jusqu’en Amérique du Sud.
*** Du paracétamol pour la fièvre et les douleurs, et de l’ibuprofène pour la douleur et les inflammations
**** Nous espérons ne pas avoir recours à cela, mais depuis que nous avons lu un blog espagnol à ce sujet, nous pensons que ça peut valoir le coup d’en emporter un… A nous aussi ça nous démange chaque fois que nous lisons cet article !
***** Ils se mélangent avec de l’eau. Normalement ils sont faits pour les enfants, mais en cas de diarrhées, ils fonctionnent très bien puisqu’ils comportent beaucoup de sels minéraux et participent à la réhydratation.

Un Grand Merci à Alba pour les conseils que tu nous as donnés comme professionnelle en soins infirmiers !


Comment vous le voyez ? Nous avons oublié quelque chose ?

8 mars 2010

Une semaine et on s'en va.

Il ne reste plus qu'une semaine avant qu'on décolle. Jusqu'à présent chacun est dans sa maison, commençant à dire au revoir à tout le monde,
regardant si toutes les affaires tiennent dans le sac,
retournant dans ses endroits préférés...
et essayant de s'imaginer que d'ici quelques jours on sera tous deux à l'autre bout du monde et que tout cela sera déjà assez loin.
On ajoute les photos des adieux de M à ces ami[e]s de Terrassa. G aurait vraiment aimé être là aussi ! Un énorme bisou à toutes et tous. Vous nous manquerez beaucoup ! Ah, et félicitations à CRi qui s'en va à L.A. pour travailler... tout un rêve qui devient réalité. Félicitations !

4 mars 2010

Retour à la maison.

La fin de semaine passée a été très agitée entre la soirée d'adieux aux Parisiens et la préparation des cartons et des valises pour partir. On a été pas mal chamboulés ! Cela a eu pas mal de conséquences : M a notamment raté son train pour Barcelone en raison des bouchons du samedi soir sur le périphérique parisien. Ou encore la porte latérale de la camionnette que G a louée pour le déménagement qui ne fermait pas à clé. On a quand même pris tout ça avec un peu d'humour en nous disant à nous mêmes que "c'est clair qu'en Amérique du Sud ce genre d'imprévus nous arrivera aussi !" et pour cette raison mieux vaut prendre ces petites choses avec philosophie !
Les 15 prochains jours seront consacrés pour chacun de nous deux à sa famille, M à Terrassa et G à Hérimoncourt. Profitant des derniers jours avec les nôtres, faisant nos adieux à tout le monde et finissant de tout préparer pour... nous en aller !

3 mars 2010

Adieu Paris.

Au revoir à tous nos ami[e]s de Paris et encore un grand merci à vous tous d'avoir participé à la soirée de vendredi ! Soirée super agréable, et on pense très réussie, qui nous a fait beaucoup de bien car on s'est sentis très proches de vous et ça a permis de partir de Paris l'esprit tranquille. On vous portera dans notre cœur tout au long de cette aventure ! Et on remet ça au retour !


PS: Spécial remerciement aux déménageurs !

2 mars 2010

Despegar

Merci beaucoup Jorge pour avoir parlé de nous dans ton blog Despegar!